mercredi, octobre 18, 2006

Nouvelles fraîches de Gabriel...

Voilà que l'itinéraire de Gabriel est plus clair:

(Message daté du 18 octobre):

Finalement je ne me renderai pas au Brésil. Là je suis à Sucre (en Bolivie) et je devrais traverser bientôt pour le nord de l'Argentine, descendre un peu dans ce pays, rencontrer un peu Gabe et MG qui vont vers le Brésil et Martin, un ami français qu'on s'est fait.

Ensuite, je traverserai la frontiere vers le Chili où ma mère viendra me rejoindre 2 semaines. Ensuite je retraverserai en Argentine , vers la Patagonie. Pour Noël, deux amis du cégep viennent me rencontrer. Voilà. Je repartirai de Buenos Aires.

C'est dure la vie n'est-ce pas!?!?!

mardi, octobre 17, 2006

Un blog souvenir...d'Antonin

Vous trouverez ici des photos et quelques recits équatoriens d'Antonin.

http://ecuadorrecuerdo.blogspot.com/

Cette adresse se trouve aussi dans la liste de liens à droite.

Bonne lecture.

Des nouvelles du SUD...

Quatre mois après la fin du stage, 3 étudiants du groupe SENS 2006 sont toujours en Amérique latine. J'ai reçu des nouvelles d'eux. Leurs messages suivent cette courte présentation:

Julien Cournoyer: Après un long séjour au Salvador, Julien est passé par le Guatemala et le Mexique dans sa longue route vers les États-Unis. Aux dernières nouvelles il se dirigeait vers Baja California pour travailler dans un orphelinat.

Gabriel Léger-Savard (Gab-gars): Après le stage il a visité davantage l'Équateur puis le Pérou et la Bolivie et il devait se rendre jusqu'au Brésil. Je ne connais pas tous les détails de son voyage mais il est présentement en Bolivie où il fait du théâtre.

Gabrielle Abdelahad-Acosta (Gab-fille) : Après le stage elle est descendue vers le Pérou puis vers le Brésil (si est-elle rendue?) En tout cas elle est maintenenant au Chili.

Voici leurs messages:

Gab-gars (en date du 13 otobre):

Joyeux vendredi 13.

Bon, je suis revenu à La Paz, il y avait un festival de théâtre, j'ai donc assisté à plusieurs pièces. J'ai aussi suivi un atelier, mais comble du malheur, ils ont skippé la partie pratique.

J'ai aussi assisté un peu à la rencontre continentale des peuples autochtones qui avait lieu ici. Lors d'un grand rassemblement pour clore l' événement, sur la grande place San Francisco, il y avait des danses, des chants d'un peu partout dans les amériques.... le soleil plombait.....devant la place bondée, une équatorienne a lu la déclaration finale adoptée par la rencontre continentale ensuite il y a eu un discours de nul autre que EVO. Moment innoubliable, jte raconterai ça au retour.

Je reviens comme prévu, autour du 20 janvier.... billet dernière minute.

voilà gabriel

Gab-fille (en date du 15 octobre):

Salut Guillaume...!Alors voila, je suis toujours en voyage et je me plais bien... vraiment, ca fait vachement du bien de se retrouver ailleurs. En ce moment je suis au Chili avec Maria-Gabriela et on est hebergé dans une famille à elle... c'est super! surtout que c'est vraiment plus cher ici. Alors on bouffe comme des rois et on prend un peu de soleil... sur le bord de la mer!

Alors Bisous chiliens, embrasse tout le monde de ma part...

A bientot, c'est fou comme le temps passe vite,

Gabrielle

Julien C. (en date du 6 octobre):

Bonjour les INterminables téméraires, je vous écris, comme ça, pour rien.

J’ai changer de paragraphe, mon premier, si vous vous rappeler, parlais de rien, celui-ci va parler de témérité. Un jour ensoleillé de septembre Guatémaltèque, je marche avec mon gros sac à dos de déménagement, mon petit sac en avant, mon porte feuille dans ma poche droite et ma caméra dans ma poche gauche. Je marche dans un marché, endroit ou l’on ne peut pas courir (le mot le dis); je marche, je marche, je marche et je sent subitement un mouvement dans ma poche gauche. Je devine que c’est quelque chose de vivant, ça m’intrigue, je regarde et je vois que c’est une main. Une main, une main, une main! Je regarde le détenteur de la main et je lui envoie, par le pouvoir de ma témérité, un message par mes yeux qui lui dit: <> Il a compris, il a enlever sa main.

Je continue à marcher dans le marché puisque mon pouvoir de témérité a marché. Je laisse mon porte feuille dans ma poche droite et ma caméra dans ma poche gauche. Je marche, je marche, je marche et je vois subitement une fille qui échappe toute ça petite monaie devant moi: je ne peu pas piler sur sa monaie, c’est précieux; je ne peu non plus éviter la monaie par la gauche puisqu’il y a une personne qui me bloque et a la droite c’est la même chose. Le seul choix reste de reculer, mais nous savons que seul les demies téméraires fond demi-tour, alors je reste boguer-là. Au même moment, je sent subitement un mouvement dans ma poche droite. Je devine que c’est quelque chose de vivant, mon cerveau, par la force de ma témérité, fait vite le lien entre l’évènement passé et l’événement présent. J’expulse une panique remplie d’ondes témérairaires tout en regardant la personne visé qui expulse sa main de ma poche. Je regarde les marchants qui me regarde et que je regarde à mon tour, je vois dans leur yeux l’expression du danger qui me guette, la main qui sort peu toujours rerentrer. J’expulse donc un autre onde de panique téméraire, mais celle-ci incontrolé qui destabilise la position de mon corp et qui fait tomber mon petit sac en avant que je ratrappe par mon avant bras. Après ça, tout ce passe très vite, je ressent un autre fois de la vie dans ma poche et ce ne sont pas des petits bonhommes blancs; je me déplace, la fille qui ramassait sa monaie me tant ma bouteille d’eau qui a tomber de mon sac, je la prend, je verifie mes poches, je regarde les marchants qui me regarde et que je regarde à mon tour…rien n’a changé, les voleurs ce dicipent, je suis victorieux.

Je met mon porte feuille et ma caméra dans mon sac, je marche et plein de gens me disent de faire attention en me faisant des signes de main qui exprime <>, je me dis finalement que j’ai été chanceux que ça ce passe dans un marché, sinon les voleurs aurait pu courir… ou même pire, voler.

Ceci est un expérience de témérité, en voici un autre…

Je placote à la Guatemaltèque dans un hotel à moins de deux piasse par nuit, où je reste. Quelqu’un est à l’entrée, il regarde quelque chose à terre avec intrigue, je regarde où il regarde bien que je ne sois pas près de l’entrée, j’appersois tout de même la tête d’une personne, juste la tête, sans le corp … parce que le corp est caché par un mur. Je me lève et vais en direction de la personne au sol; j’entand sa respiration qui est complètement anormale, similaire à la respiration d’une personne en pleine crise d’asthme. Je me met a un mètre de lui, je l’observe et je n’en tire aucune conclusion: sa respiration est très difficile, il fait beaucoup de bruit. Sa respiration est accompagné de mouvement brusque du corp. Il tousse également comme pour ejecter le contenu de son estomac. Il est en pleine panique, comme possedé… Je décide donc de lui servir de soutient, je questionne les autres autour pour la nécéssité d’un ambulance puisque les signes et symptômes ne s’associe a aucun cas de premiers soins que j’ai appris. J’ai de plus en plus l’impression que cette personne a bu et que son corp veut éjecter l’alcool, je l’aide donc à prendre une bonne position, mais seul de la salive en résulte chaque fois. Peu après, je demande fermement l’ambulance qui était déjà en procédure d’appel. Les mouvements busques de la personne se font de plus en plus concret, j’y voix une crise du bacon (c’est une crise d’épilepsie exprimé en terme plus scientifique). La personne à donc de moins en moins contrôle de son corp, mais toujours le même désir de liquifier le sol, alors je lui soutient à la fois la tête et périodiquement, je l’aide à prendre la bonne position pour que sa bouche vise le sol. Rien n’en résulte d’autre que de la salive et de gros rots. Les mouvements brusques sont maintenant plus fort, je me met à genoux pour poser sa tête sur mes cuisses qui sont, comme vous le savez quand même très dure, mais moins que le sol asphalté. Ça continu, ça devient une routine, il tente quelque fois encore de gerber sans succès. Je tient sa tête, et la vie de celle-ci qui me parraiçait si forte atteint la plus grande mollesse, comme une mort subite. Je dépose doucement ça tête, je me lève rapidement, je cours pour ma chambre et je cris: <> je rentre dans ma chambre et je cherche sauvagement mon masque de poche… je le trouve et je reviens à la victime en préparant mon masque… aucun mouvement percevable, j’aproche ma tête de sa bouche pour présentir et écouter son souffle tout en regardant si son ventre bouge. Je ne sent et n’entend pas son souffle en comptant les secondes… après la cinquième seconde, je voix son ventre bouger. Je reviens à sa tête au risque d’une nouvelle crise. On m’informe que le numéro qu’ils ont appeler était l’ambulance de la capital, à six heure de notre hôtel, ils se débrouillent donc pour appeler l’ambulance désigné. Ça continue, mais avec des mouvements encore plus brusque, de la salive blanche sort lentement de sa bouche lorsqu’il se décharge, son états incontient revient une ou deux fois, mais toujours en gardant sa respiration. Sa tête pousse tellement fortement sur mes jambes que son dos décolle du sol, sa respiration est encore autant difficile à l’exeption de ces moments d’incontiences, qui rend sa respiration extremement paisible…

Longtemps après, l’ambulance arrive. Je fais un peu comme si elle ne serait pas là pour garder ma concentration. Un ambulancier sort de la camionette, très lentement. Il marche d’une lenteur indescriptible pour ce genre de situation, il sort ces gants hygièniques toujours très lentement, je devine ses pensées: > Il décide enfin de sortir sa civière des années 40, on le met dessus avec l’aide de l’autre ambulancier, la victime continu à gigoter. Il posent des questions, sans presse, du genre:<> Personne ne le sais vraiment. Je leur demande si je peut aller avec eux, mais je n’aurait pas eu de retours alors ils s’en vont.

Le lendemain je vais le visiter à l’hôpital, je vois une femme qui le chicane en invoquant des connaissances bibliques. Personne me remarque, elle continue à chialer sur le fait que s’il n’aurait pas pris d’alcool, que ça ne serait pas arrivé… J’en ai ras le bol et je m’impose, je me présente et tout… La madame dit comme une conne: <> Elle contitue à chialer dessus et une femme arrive de l’autre côté du lit. Elle a une bible dans les mains et se met a parler de la bible en approuvant ce que l’autre histérique dit… Moi je les coupe et dis:<> Elles continuent , je les recoupe plus tard et après je suis tanné je serre la main au gars et je m’en vais. Je vais au toillette et je prend une photo de celle-ci en souvenir de cette aventure. Je prend un autre photo à l’extérieur, du mur qui cache la píece où ils étaient situés. C’est comme ça que ça fini.

Je ne sais pas comment conclure, un peu comme je ne savais pas introduire, je finis comme ça, pour rien.

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